Départements

 

 

 

 

 

FINISTERE (29)

(Penn-ar-Bed en breton)

 

 

 

 

Il fut appelé «Finistère, par évocation de l'abbaye bénédictine de Loc Mazé dite en latin «de fine» ou de «finibus terræ» (soit de la fin de la terre).

 

Histoire :

Le département a été créé à la révolution Française, le 4 mars 1790 à partir d'une partie de l'ancienne province de Bretagne. Il correspond aussi à l'Ouest de l'évêché de Cornouaille, à l'intégralité du Léon et au tiers ouest du Trégor, ainsi que d'un bout du Broërec ou Vannetais : la sénéchaussée de Gourin.

À l'époque antique le Finistère était habité par le peuple gaulois armoricain des Osismes (Celtes). Après la conquête romaine le territoire relevait de la province de Gaule Lyonnaise. Le chef-lieu des Osismes fut installé à Vorgium (l'actuelle Carhaix). À la fin du IIIe siècle fut construit à Brest un "castrum" pour se protéger des pirates scots, saxons et frisons. Un siècle plus tard, il fera partie du système de défense et de contrôle de la Manche mis en place par le gouvernement impérial, le "Tractus Armoricanus et Nervicanus".

Le territoire des Osismes aurait été concédé aux Bretons par l'empereur Maximus à la fin du IVe siècle. Augmenté de celui des Coriosolites, il formera la "Létavie", bientôt appelée "Nouvelle Bretagne" ou "Petite Bretagne". Ce berceau de la Bretagne continentale fut divisé en deux royaumes, la Cornouaille et la Domnonée qui avaient leurs correspondants insulaires. Ces royaumes doubles d'un côté à l'autre de la Manche étaient vraisemblablement régis par les mêmes dynasties à l'origine. Le Broërec (l'actuel département du Morbihan) se détacha de la Cornouaille et le Léon se détacha du royaume de Domnonée.

Le royaume de Cornouaille devint un comté sous l'influence franque avant de se fondre dans le domaine ducal de Bretagne lors de l'accession de la dynastie comtale au trône ducal en 1066.

Le Léon restera sous l’autorité de ses vicomtes, quoique fort écornée par les ducs Pierre Mauclerc et Jean le Roux. Les Rohan hériteront du Léon par mariage. Le titre de prince de Léon est encore porté aujourd'hui par le fils de l'actuel duc Josselin de Rohan (c'est bien sûr un titre de courtoisie).

 

Géographie :

Le Finistère est situé à l'extrémité ouest de la Bretagne. Il est bordé au nord, à l'ouest et au sud par la Manche et l'océan Atlantique.

Premier département côtier de France, il compte 118 communes littorales sur 283, soit plus d'un dixième des communes littorales françaises, et 1250 km de côtes, soit près d'un quart du littoral français.



Climat :

Le climat du Finistère présente les caractéristique d’un climat tempéré océanique sous l’influence du Gulf Stream et des perturbations atlantiques. Il se caractérise généralement par des hivers doux et des étés frais. Les précipitations sont étalées sur toute l’année, elles augmentent sensiblement à l’intérieur des terres et sur le relief. Les gelées sont rares, la présence du vent est une autre caractéristique de ce climat.


la pointe du raz :

 

 

 

 

 

COTES D'ARMOR (22)

(Aodoù an Arvor en breton, Graéy d’Armor en gallo)

 

 

Histoire :

Ce département tire son nom

  • du mot breton ancien Armor, dont le terme géographique Armorique est proche, en breton moderne an Arvor (la mer), par opposition à Argoad ou Argoat («pays boisé», par extension, l'intérieur des terres), d'une part,

  • de son ancien nom, les Côtes-du-Nord, d'autre part.

Le département a été créé à la Révolution Française, le 4 mars 1790, sur une partie de l'ancienne province de Bretagne, composée de l'est des évêchés de Cornouaille et du Trégor, de la presque totalité de l'évêché de Saint-Brieuc, du nord-ouest de l' évêché de Saint-Malo, d'une petite partie à l'ouest de l' évêché de Dol, ainsi que de deux petits morceaux au nord de l' évêché de Vannes.

Au civil, il s'étend sur les comtés de Penthièvre et de Trégor, augmentés de l'essentiel du Poudouvre et des parties nord du Poher et du Porhoët. Il reprend ainsi une partie importante de l'ancien royaume de Domnonée.

Durant deux siècles, le département porta le nom de Côtes-du-Nord. Longtemps critiqué et jugé dévalorisant, ce nom fut changé en 1990 pour Côtes-d'Armor, plus enchanteur, et signifiant littéralement «Côtes du pays de la mer».

 

Géographie :

Le département des Côtes-d'Armor fait partie de la région Bretagne. Il est limitrophe des départements du Finistère à l'ouest, du Morbihan au sud et de l'Ille-et-vilaine à l'est.

Une partie importante de l'activité économique des Côtes-d'Armor tourne autour de l'agriculture et de l'industrie agro-alimentaire. L'élevage porcin, notamment, y est largement développé. Le marché au cadran de Plérin (près de Saint-Brieuc) est l'organisme principal qui donne le cours de la viande de porc en France.

La pêche est également développée, grâce à une façade maritime importante (7 ports de commerce, 17 ports de pêche). L'exploitation de gisements de coquilles Saint-Jacques caractérise, entre autres, cette activité.

Les Côtes-d'Armor bénéficient de deux pôles technologiques importants, la télécommunication spatiale et les nouvelles technologies dans le Trégor autour de Lannion au sein du technopôle Anticipa, et le zoopôle de Saint-Brieuc-Ploufragan, qui emploie 700 chercheurs et techniciens dans la recherche animale et l'analyse biologique.

Le département a une activité touristique très développée, principalement sur la côte, où l'on compte de nombreuses résidences secondaires. La principale station balnéaire est Perros-Guirec, les autres stations renommées sont Erquy, Pléneuf-Val-André, Saint-Cast-le-Guildo, Trébeurden, Trégastel et Saint-Quay-Portrieux.

 

Perros-Guirec :

 

 

 

 

 

MORBIHAN (56)

(signifie «petite mer», de Mor, la mer et Bihan, petit en Breton)

 

 

 

Histoire :

Le Morbihan est un département Français situé en Bretagne, qui doit son nom au golfe du Morbihan. Il correspond pour l'essentiel au royaume, devenu comté puis baillie de Broërec et plus anciennement à la cité des Vénètes.

Le département a été créé à la Révolution Française, le 4 mars 1790, à partir d'une partie de l'ancienne province de Bretagne, composée de l'évêché de Vannes (moins deux petites parties au nord, une autre à l'est et une dernière à l'ouest), de l'extrême est de la Cornouaille, du sud de l'évêché de Saint-Brieuc, du sud-ouest de l'évêché de Saint-Malo et du nord-est de l'évêché de Nantes.

Il est créé à partir de la circonscription du présidial de Vannes à laquelle on a retranché la sénéchaussée de Quimperlé et la moitié nord de celle de Ploërmel et ajouté la sénéchaussée de Gourin (à peu près).

Les concepteurs des départements ont choisi de ne pas reprendre les noms portés par les circonscriptions antérieures pour en éradiquer les particularismes, afin qu'il n'y ait plus ni Angevin ni Breton, mais seulement des Français. Les noms des départements sont choisis à partir de particularités géographiques, notamment des noms de fleuves, de mers ou de montagnes. On songea à nommer ce département «les Côtes du sud», par opposition aux Côtes-du-Nord, mais la présence de plusieurs golfes appelés mor bihan («petite mer» en français) par les habitants, à Gâvres et au sud de Vannes, lui a fait préférer ce vocable géographique. La population n'a pas été consultée sur ce nom comme sur les limites du département, mais la résonance bretonne du mot de Morbihan a fait beaucoup pour son acceptation par les habitants.

 

Géographie :

Le Morbihan fait partie de la région Bretagne. Il est limitrophe des départements du Finistère à l'ouest, des Côtes-d'Armor au nord, d'Ille-et-Vilaine à l'est et de la Loire-Atlantique au sud-est, et bordé par l'océan Atlantique au sud.

Comme ailleurs en Bretagne, les marées remplissent et vident les estuaires de fleuves – grands et petits – appelés localement en français rivières. C'est l'équivalent des abers du Léon et de ce que les géographes dénomment ria.

Le golfe qui a donné son nom au département contient 42 îles, dont deux forment commune : l'île d'Arz (enez Arz) et l'île aux Moines (Enizenac'h ou Enez manac'h).

Hors du golfe du Mor Bihan, dans le Mor Bras («la grande mer», pour l'Océan) il y a cinq îles importantes dont quatre sont habitées :

- une à l'entrée du golfe du Morbihan, Méaban, inhabitée, où l'accostage, hors urgence, est interdit en raison de l'implantation d'une réserve ornithologique;

 

- trois au sud-ouest de la baie de Quiberon (bae Kiberen) :

Houat (enez Houad) ;

Hoëdic (enez Edig) ;

Belle-Ile-en-Mer (enez Ar Gerveur) ;

 

- une en face de lorient : Groix (enez Groe).

 

Le climat est doux aussi bien en hiver qu'en été. Il existe des microclimats surprenants tels que ceux de la presqu'île de Quiberon ou de Belle-Île.

 

le golfe du Morbihan :

 

 

 

 

 

ILLE ET VILAINE (35)

(Ille-e-Vilenne ou Ill-e-vilaenn en gallo ,Il-ha-Gwilen en breton)

 

 

 

Histoire :

Le département a été créé à la Révolution Française, le 4 mars 1790. C’est l’un des 5 départements issus du découpage de l’ancienne province de Bretagne. Il est composé de l'évêché de Rennes (moins une petite partie au Sud-Est), de l’Est et de l’extrême Nord de l'évêché de Saint-Malo, des trois-quarts est de l'évêché de Dol-de-Bretagne, de l’extrême Est de l'évêché de Vannes et d’une petite partie du Nord de l'évêché de Nantes.

Au civil, il correspond à peu près:

1) au territoire de la cité des Riedones (peuple armoricain qui a donné son nom à Rennes et au Pays Rennais) augmenté de la frange orientale de celui des Coriosolites.

2) à la baillie médiévale de Rennes + une patrie de celle du Porhoët.

3) à la moitié orientale du présidial de Rennes, tel qu’il était en 1689, comprenant les sénéchaussées de Rennes (avec quelques aménagements au sud avec la sénéchaussée de Nantes), St-Aubin du Cormier, Fougères, Bazouges, Antrain, Hédé et St-Malo + une partie des sénéchaussées de Dinan et de Ploërmel.

Le nom de ce département a été forgé comme les autres en reprenant les particularités géographiques principales qui s’y trouvent. Ici, il est basé sur deux rivières, l'Ille et la Vilaine, qui se rejoignent en aval de Rennes, à l’ouest de la ville.

 

Géographie :

Le département d'Ille-et-Vilaine est un département Français situé en Bretagne. Ses habitants sont les illiens et les illiennes. Il est situé dans l’est de la région Bretagne et fait partie du pays gallo, aussi appelé haute-Bretagne. La population pourrait être d’environ 952000 habitants en 2007, en augmentation depuis plusieurs décennies. Rennes est le chef-lieu de département et préfecture de la région Bretagne. La langue traditionnelle est le gallo. Le département compte 353 communes depuis la création de la commune de Saint-Symphorien le 1er janvier 2008.

 

Le département d’Ille-et-Vilaine fait partie de la région Bretagne. Il est baigné par la Manche, son littoral appartenant à la Côte d'émeraude.

 

L’Ille-et-Vilaine s’étend sur 6775 km2. Il s’agit du département breton le moins maritime puisque son littoral, s’ouvrant sur la Manche, n’est que de 70km.

L’Ille-et-Vilaine est localisé sur une dépression topographique. Il est protégé des flux d’Ouest par les hauteurs du Massif Armoricain et des influences continentales à l’Est avec les collines normandes et du Maine.

En effet, la partie centrale et littorale du département est de faible altitude, le plus souvent inférieur à 50 mètres dans la bande côtière et dans les vallées et moins de 100 mètres quasiment partout. Ce n’est qu’en limites occidentale et orientale que se situent des reliefs plus élevés :

  • à l’Ouest, les collines de Becherel (190 mètres) et la forêt de Paimpont où l’Ille-et-Vilaine culmine à 256 mètres.

  • à l’Est, le Coglais et la pays de Fougères (251 mètres à la Chapelle-Janson)

Les bassins : creusés par l’érosion dans les schistes tendres, ils se développent de part et d’autre des rivières principales :

  • au Nord, bassin des affluents de la Rance et bassins du Couesnon.

  • au Centre et au Sud, bassins de la Vilaine dont le plus important, celui de Rennes.

Les plateaux :

  • au Sud sous forme de barres rocheuses constituées de schistes durs ou de grès armoricain, séparés par de larges vallées où coulent des affluents de la Vilaine.

  • au Nord en bandes plus larges et plus uniformes constituées de schistes durs ou de granite alternant avec les bassins.

Les régions maritimes comprenant l’Est de Cancale, les marais de Dol et du Mont-Saint-Michel, et à l’Ouest un plateau de roches cristallines profondément entaillé par la Rance.

 

L'agriculture est principalement basée sur l'élevage, ce qui en fait le premier département laitier de France. Cela a pour conséquences, une adaptation de l’agriculture avec des cultures orientées pour l’alimentation animale avec du blé, du maïs, des plantes fourragères et des prairies.

Hormis ces espaces anthropisés, il subsiste encore des espaces naturels comme la lande sur les plateaux au Sud et les falaises du littoral, la forêt dont il reste d’importants vestiges, environ 60 000 hectares (forêt de Paimpont, de Fougères, de Rennes, de Liffré, de Teillay…) ; les zones humides des marais maritimes, du marais de Redon ainsi que les tourbières qui entourent les nombreux étangs.


l'anse du verger :

 

 

 

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LOIRE-ATLANTIQUE (44)

(Loère Atlantiqe en gallo)

 

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Créé en 1790 sous le nom de Loire-Inférieure, il conserva cette appellation jusqu'en 1957. Sa langue traditionnelle était le gallo.

 

Histoire :

Le département de la Loire-Atlantique a été créé, comme la plupart des autres, à partir du démembrement de la Province de Bretagne, au début de la Révolution Française, en application de la loi du 22 décembre 1789.

Le département reprenait la quasi-totalité de la partie bretonne du territoire de l'ancien évêché de Nantes, recevant une petite partie du sud de l'évêché de Rennes et perdant une partie du pays Mitau, au Nord-Ouest, rattaché au Morbihan.

La Loire-Inférieure fut d'abord divisée en neuf districts qui étaient ceux de : Ancenis, Blain, Châteaubriant, Clisson, Guérande, Machecoul, Nantes, Paimboeuf et Savenay.

En 1800, les districts furent remplacés par de nouvelles circonscriptions administratives : les arrondissements. Cinq furent établis dans le département : Ancenis, Châteaubriant, Nantes, Paimboeuf et Savenay.

En 1868, la sous-préfecture de Savenay fut transférée à Saint-Nazaire.

En 1926, les arrondissements d'Ancenis et de Paimbœuf furent supprimés au bénéfice respectifs de ceux de Nantes et de Saint-Nazaire. Celui d'Ancenis fut rétabli en 1943, tandis que celui de Paimbœuf constitue toujours la partie sud de l'arrondissement Nazairien.

L'institution des préfectures de région furent dissoutes en 1946.

Le décret Pfimlin du 30 juin 1955 créa les régions de programme qui avaient pour objectif d'optimiser l'aménagement du territoire ; selon des considérations économiques, la Loire-Atlantique est placée dans la région Pays de la Loire.

La création des préfets de région en 1964, des établissements publics régionaux en 1972 et des régions en 1982 entérina ce découpage et lui donna une légitimité. Mais, dans cette même période, l'identité bretonne s'affirma et l'attribution de la Loire-Atlantique aux Pays de la Loire se trouva contestée.



Géographie :

Située sur la côte atlantique française, la Loire-Atlantique est limitrophe des départements du Morbihan au Nord-Ouest, d'Ille-et-Vilaine au Nord, de Maine-et-Loire à l'Est et de Vendée au Sud. La côte ouest est bordée par l'océan Atlantique. Le département est traversé par la Loire qui, à partir de Nantes constitue un estuaire et se jette dans l'océan au niveau de Saint-Nazaire. La vallée de la Loire est ici appelée Basse-Loire.

Le département fait partie du Massif Armoricain ; sa géologie est variée (schistes et grès primaires, faluns tertiaires).

La Loire-Atlantique possède plus de 130 kilomètres de côtes le long de l'océan Atlantique : la côte d'Amour au Nord de l’estuaire, et la côte de Jade au Sud de celui-ci.

Globalement, le relief de la Loire-Atlantique est assez peu marqué. Au Nord-Est de la Loire, on trouve le Bocage Angevin. Il s’agit d’un ensemble de plateaux d’altitude voisine de 100 mètres ; le point culminant est la colline de la Bretèche, près de Châteaubriant, haute de 116 mètres.

Au Sud du fleuve, vers le Pays de Retz, le paysage est plutôt marqué par une succession de collines atteignant 30 mètres. Tandis qu’au nord-ouest du fleuve, le sillon de Bretagne, une suite de collines, traverse le département selon une direction nord-ouest/sud-est.

De manière générale, la Loire-Atlantique comporte énormément de zones humides. Elle recèle de nombreux marais, comme la Brière au nord de Saint-Nazaire, les marais salants de Guérande, les marais de Couëron en aval de Nantes, ceux de Goulaine au sud-est et le marais Breton au sud-Ouest. Au sud, le département possède l'un des plus grands lacs de France, le lac de grand-lieu.

La Loire constitue un élément géographique majeur ; on considère généralement que son estuaire commence en aval de la ville, et les variations de niveau liées à l'influence océanique des marées y sont perceptibles.



Climat :

Avec sa façade océanique orientée vers l'Ouest et un relief peu accentué, le climat de la Loire-Atlantique est de type trmpéré océanique, humide, doux et change peu d'un endroit à l'autre du département.
La température moyenne annuelle est de l'ordre de 11 °C. Les hivers y sont doux (6° en moyenne), les étés moyennement chauds (24° en moyenne).
Les précipitations, dont la moyenne annuelle varie entre 650 et 800 mm, sont fréquentes (surtout en hiver et au printemps) mais rarement violentes ; le chiffre moyen de 820 mm de pluie par an masque par ailleurs une irrégularité des précipitations d'une année sur l'autre.

 

Marais-salants :

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Commentaires (3)

1. Marie-Armelle (site web) 01/08/2008

Bonjour Chrislyne,Image
Ben dam! Oui ! Mon méri est Breton, né à St Nazaire...Je suppose que tu n'as pas eu le temps, ce que tu as fait est déjà super bien. A+ Image

2. Enora (site web) 02/07/2008

Et le 5ème département ??? La Loire-Atlantique ???
Certes, il n'est plus considéré comme fesant partie de la Bretagne maintenant, mais il l'était avant...

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