Les anciens Celtes ne craignent pas la mort puisque, pour eux, elle représente le commencement d'une vie meilleure. Les Bretons christianisés conçoivent la mort de la même façon, comme une chose simple, naturelle. Mais de l'Ankou, ils ont peur...
Cependant, la crainte des Bretons apparaît à
l'évocation de l'Ankou, en breton "Anken",
signifie chagrin, "Ankoun" oubli.
Maître de l'au-delà, l'Ankou est omnipotent. Il est
dépeint comme un squelette, parfois drapé d'un linceul,
tenant une faux emmanchée à l'envers. Des
représentations anciennes le montrent armé d'une flèche
ou d'une lance.
L'Ankou circule la nuit, debout sur un chariot dont les essieux
grincent. Ce funèbre convoi est le "karrig an Ankou",
char de l'Ankou. Entendre grincer les roues du "Karrig an
Ankou" ou croiser en chemin le sinistre attelage sont des signes
annonciateurs de la mort d'un proche.
1. 16/09/2008
tro coul le site je sui une pur bretonne moitie costamorricaine et moitie finisterienne jadore lankou et la legende des korigans ossi alors stu pouvai faireun article la dessus sa serai sympa SLT